18. oct., 2017

J'ai supprimé un paragraphe sur les infirmières libérales .

Je n'aime pas ça, je n'ai jamais supprimé mes écrits parce que j'aime les premiers jets et la transparence . Mais cette fois, j'ai un problème de conscience, je n'ai pas le droit de parler au nom de toutes les infirmières ...Je dois les respecter, je ne les connais pas toutes, mais je maintiens que la NGAP des infirmiers est une ineptie et là je parle en mon propre nom . Doubler un tarif si l'on dépasse la demi heure est une moquerie, ce n'est pas sérieux, un jour on la dépasse et le lendemain non pour une raison ou une autre ! Il faut de toute urgence revoir cette nomenclature, pour être payé à l'acte comme les médecins ou les kinés ! Sans tenir compte de la vitesse de travail des infirmières ! Merci .

Dans mon ancien blog, je parle des infirmiers comme étant des gardiens du subjectif des malades . Nous sommes les seuls à être au plus près du patient, nous le connaissons bien, nous nous devons de le comprendre, de le servir , et pas seulement, heureusement parce que nous sommes payés pour ça ! Si l'on ne protège pas la subjectivité, la particuliarité de chacun, (un peu sa folie, quelque part , tout en la relativisant ) , nous allons droit dans le mur, nous serons un jour tous des clones . D'ou l'importance de protéger ce métier , et à mon avis de l'amener à un doctorat en subjectivité .

Derniers commentaires

20.10 | 13:03

la gourmandise, la paresse, la luxure, l'avarice, la colere, l'envie, l'orgueil

17.10 | 00:55

La subjectivité doit être respectée à tout prix, il faut juste réajuster les défauts capitaux du cerveau du malade .

12.05 | 13:55

Et je sais aussi, que cette conscience extra ordinaire est choquante pour la conscience ordinaire ...

03.05 | 17:48

Je sais bien que c'est une façon de voir les choses particulière, surtout la compétence, mais je les vois avec une autre conscience que la conscience commune .